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Diatomalo - Association Musicale Accordéon Diatonique Saint-Malo

19 mai 2016

DE PENHOUET

Scottish de Penhoet

 

Cliquez sur le triangle pour écouter la musique de cette partition 

 

Extrait musical joué par Patrick Cadeillan 

  

 Morceau composé par Michel Marre 

Michel Marre 

Michel Marre né en 1946 est un trompettiste, bugliste et tubiste de jazz , un compositeur et un réalisateur français. Il joue également de l'euphonium. (wikipédia)

Compagnon de route de Mal Waldron, Henri Texier, Archie Shepp, François Tusques, Marre multiplie depuis les années 90 les résidences en France et à l 'étranger. Lauréat Médicis en 98 pour sa création " Gavachs " avec les musiciens du Rajasthan, lauréat en Roumanie pour sa création "Mamaliga blues" en 2003, mais aussi "Sardanajazz" Grand Orchestre avec la Cobla Milénaria, Harmonie-Galoubets et solistes à Bollène, "Silk Road" en Asie centrale, "Trobar" avec Jean Marie Carlotti... Parallèlement à ces créations, il participe aux projets de J.M. Padovani, Lester Bowie, Sophia Domancich, Serje Lazarevitch, Gérard Pansanel, Didier Levallet, Marc Ducret, Daniel Humair, Doudou Gouirand, Clifford Jarvis, Compagnie de Danse Jackie Taffanel, et plus récemment de l'Orchestre National de Jazz, direction Franck Tortiller, pour 3 ans.

Après des études de piano classique Michel Marre découvre le jazz à l'âge de 18 ans et rentre dans un orchestre de New Orléans, les "Hot Peppers" de Michel Bastide. Il se familiarise avec les répertoires de King Oliver, Louis Armstrong, Duke Ellington, Fletcher Anderson... Puis il part en Afrique de l'Est et du Nord pour trois années. Véritable révélation des musiques Africaines et du Free Jazz : on le retrouve aux cotés de musiciens Américains au Festival de Carthage. Il rentre en 74 en France et rencontre François Tusques dans l’intercommunal Free Dance Music Orchestra, et crée le groupe mythique “Cossi Anatz”. Dès les années 80, il commence à écrire pour de grands orchestres en mélangeant les genres : musique Bretonne avec le Bagad de Quimperlé et 400 musiciens, musique du Poitou avec Harmonie et Musiciens Trad. Harmonie de Lozère, de Bollène avec des Galoubets. En Résidence en Russie avec le Grand Orchestre de Novosibirsk, à Bucarest avec un Big Band et des Musiciens Tziganes, et au Kirghistan avec l'Ensemble National Kirghise, il écrit pour une Harmonie Européenne et des grands Orchestres de Jazz, mais aussi participe à la création de Frank Tortiller “Oratorio Mandingue” ou encore joue avec la chanteuse Rachel Ratsizafy, et enregistre des standards avec Alain Jean-Marie “I Remember Clifford“ label Hative.

Il a enregistré avec

Archie Shepp
Mal Waldron
Henri Texier
Jean Marc Padovani
Sophia Domancich
Didier Levallet
Doudou Gouirand
Gérard pansanel
New Jungle Orchestra de Pierre Dorge
Orchestre National de Jazz

Source: Site internet de Michel Marre
            www.michelmarre.fr

 

Penhouet est un lieu dit de la commune de Loyat dans le Morbihan

Penhouet est un toponyme breton formé des racines penn (= pointe, extrémité) et koad (= bois). 

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19 mai 2016

A LÉA

SCOTTISH A LÉA

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan

 

 

 

 

 

19 mai 2016

A NATACHA

Scottish à Natacha===

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Extrait musical joué par Jacques Fraudet 

 

LA SCOTTISH

  

La scottish est une danse de bal et de salon qui se danse en couple, de mesure binaire (2/4), sans rapport avec l’Ecosse. Elle est introduite en Grande Bretagne en 1848 sous le nom de German polka et apparaît dans les salons parisiens deux ans plus tard sous le nom de shottish. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, elle est renommée scottish du fait des forts sentiments anti-allemands. 

 Elle s'exécute en couples tournant sur eux-mêmes dans le sens des aiguilles de la montre, tandis que le cortège de couples, disposés librement dans la salle, évolue dans le sens contraire. La danse est complète en quatre mesures 

  

Source: Wikipédia

 

19 mai 2016

FÊTE DES COPEAUX

OU SCOTTISH DU PAYS DE RETZ

Fete des copeaux

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan

 

Le pays de Retz (anciennement pays de RaisRaysRaiz), est un territoire s'étendant au sud-ouest du département de la Loire-Atantique

 

Il fait partie des des pays traditionnels de la Bretagne d'Ancien Régime, érigé en baronnie puis en duché. Ses capitales successives ont été Rézé, Pornicnotes, et enfin Machcoul à partir de 1581

 

 Le pays de Retz a été entre autres l'un des principaux fiefs de Gilles de Retz, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc et maréchal de France, dont l'histoire a surtout retenu les crimes et débauches.

Sources: Wikipédia

 

 

 

 

19 mai 2016

KIPROKO

Kiproko

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan 

 

Morceau composé par Stéphane MILLERET

 

STEPHANE MILLERET

Stéphane Milleret débute l'accordéon diatonique à l'âge de neuf ans. C’est en plein cœur du Morvan, sa région natale, qu’il fait son apprentissage musical et ses premières expériences de scène. Sa formation s’enrichit de la rencontre d'accordéonistes confirmés tels que Christophe Raillard, Jean-Pierre Yvert… En 1990, il s'installe à Grenoble et retrouve Norbert Pignol, un ami d'enfance. Une grande complicité anime ces deux musiciens tant au niveau de la recherche que de l'interprétation, de la composition ou de la pédagogie. Ensemble ils fondent le duo Obsession (devenu quintet).
Musicien éclectique, il s'intéresse à différents styles : musique traditionnelle française, roumaine, irlandaise… Cette ouverture se retrouve dans les groupes dont il fait partie : Obsession, Djal, Duo Milleret-Pignol, Tsirba, Inishowen… Tout en gardant des liens très forts avec les musiques traditionnelles, il se tourne vers l'étude d'autres esthétiques musicales : la musique improvisée, l’harmonie jazz, l'analyse classique et l'écriture contrapuntique.
La composition s'impose à lui comme une façon de mêler les différentes influences qui lui sont chères : un phrasé mélodique d'inspiration traditionnelle, une écriture polyphonique, une grande importance donnée à la forme et une place prépondérante laissée à l'improvisation. Compositeur dans les groupes Obsession et Djal, il a également écrit pour des spectacles de théâtre et de danse contemporaine.
L'accordéon diatonique, instrument phare du mouvement folk des années 70, est encore aujourd'hui en pleine évolution. Stéphane contribue à donner une place nouvelle à l'accordéon diatonique dans le domaine du spectacles vivants, grâce à la rencontre de metteurs en scène (Denis Bernet-Rollande, Jacky Rocher, …), de chorégraphes (Robert Seyfried, Denis Plassard, …), et de chanteuse (Catherine Faure).

[Discographie] 

2006 : “Répliques” Djal
2004 : “Sales gosses" Duo Milleret-Pignol
2003 : “Extra bal” Djal
2000 : “Nuits Blanches” Djal
2000 : "Mélodyssées" Obsession Quintet
1996 : "Bulgaroïde Tribu" Obsession Quintet
1993 : "Et pourtant elle tourne ! " Obsession Quintet
1991 : "Obsession" Obsession Duo


[Participations discographiques]

2005 : “Acqua” de Christian Thomas
2004 : "Toxique" Anne Calas et Henry Torgue
1999 : "Silence " Album solo de Norbert Pignol
1998 : "Ca m’énerve " chansons pour enfants avec Rémi Resse et Victor Mazilli
1997 : “Inishowen live " - enregistrement vidéo
1996 : “Compilation de l’Entre-pot" Inishowen
1996 : “Pacific Way " Tonynara
1993 : “Sham rock " Tonynara
1991 : “Le Maître Dhû " Dédale


[Bibliographie]

2008 : “Lire une partition à l’accordéon diatonique”
2006 : Recueil de partitions de l’album “Répliques”
2006 : Recueil de partitions de l’album “Nuits Blanches”
2005 : “Recueil de partition de l’album Sales Gosses”
2002 : “Méthode d’accordéon diatonique " - volume 3 -
1999 : “Méthode d’accordéon diatonique " - volume 2
1995 : “Méthode d’accordéon diatonique " - volume 1 -

Compositions et participations,
créations musicales, théâtrales, 
et chorégraphiques

2006 : - “Plein chant” création pour un chanteur (Gérard Pierron), deux groupes (DJAL et Kordévan) et deux invités (Yves Perrin, Christophe Gauvert). Coproduction - Ovni Production/Le Grand Angle de Voiron (38)/Le Train Théâtre de Porte les Valence (26)/ et l’Auditorium de Seynod (74)
- Création du groupe Toc Toc Toc avec Anne Lise Foy (Auvergne) et Vincent Boniface (Val d'Aoste) lors du festival Trad 'Envie de Pavie (32)

2005 : - Compositeur pour l’émission « Karambolage » d’Arte
- Composition de la musique de “l’histoire de l’art” DVD de palette graphique de Jean-Marc Rohart
- “Les Loufoques” de Robert Seyfried et Suzanne Linke coporoduction Compagnie DIT / Scène Nationale d’Amiens et Scène Nationale de Gap/ Le Grand Angle de Voiron.
2004 : - "La petite Valentine ou un certain Monsieur Meier" de et avec Denis Bernet-Rollande - Compagnie (Made in Théâtre) -
2003 : - "L’équilibriste" lecture de textes de Christian Bobin et chansons avec Catherine Faure
1999 : - "Gadge" de et avec Jacky Rocher - coproduction Arkham Théâtre - NEC St Priest en Jarez (42)
1998 : - "Salamano ou du beurre dans les Zépinards" de et avec Denis Bernet-Rollande - coproduction (Made in Théâtre) - CDNA, le Cargo Maison de la Culture de Grenoble (38)
- "Elle, Nous, Eux" de Robert Seyfried coproduction Compagnie D.I.T. - Théâtre du Manège de Maubeuge - La Rampe d’Echirolles
1997 : - "La fin des Zharicots" de et avec Denis Bernet-Rollande - compagnie (Made in Théâtre) -
1995 : - "Les fleuristes" compagnie Ici-Même - avec Mathieu Verkowski et Michel Mandel

 

Source :mkf.mustradem.com

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19 mai 2016

DES GRANDES LANDES

SCOTTISH DES GRANDES LANDES+++

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan

 

Le mot commun lande (en gascon lana / lanne) vient du celtique landa 'pays'. L'appellation de « Landes de Gascogne » apparaît au xixe siècle, la région étant désignée avant cela par « Landes de Bordeaux », qui a un sens plus restrictif aujourd'hui.

Les Landes de Gascogne (en gascon, graphie classique las Lanas de Gasconha) constituent une région naturelle de France de près de 1,5 million d’hectares, située au débouché du bassin Aquitain sur l’Océan Atlantique. Dominée par une pinède (66% du territoire) essentiellement introduite par l'Homme et des îlots d'agriculture (18% du territoire), elle s'étend sur trois départements : la Gironde, les Landes et le Lot et Garonne et concerne 386 communes.

Source: Wikipédia

LA DANSE « TRADITIONNELLE » EN GASCOGNE
Un peu d'histoire :
En l'état actuel des connaissances obtenues grâce à de nombreuses enquêtes sur le terrain, et également à des recherches sur des documents d'archives, il semble que les danses les plus anciennes et les plus pratiquées sur le territoire de la Gascogne soient les danses « en ronde ».
A la fin du XIXe siècle s'implantent un peu partout en Gascogne, et avec un succès certain, des danses à figures inspirées de la contredanse (country dance) anglaise, comme le congo ou encore le quadrille ; de nombreuses variantes de congo se rencontrent dans les Landes. Quant au quadrille, plusieurs chorégraphies sont également répertoriées.
Puis la fin du XIXe siècle voit apparaître des danses en couple, originaires de divers pays d'Europe : polka, scottish, redova, mazurka, valse, varsovienne.
* Le rondeau, aussi appelé « rond » dans la région de Samatan, ou branle en Haut Agenais, dont la parenté – ou filiation – est issue d'un substrat ancien : les rondes chantées (caroles, trescas...) communes à l'Europe entière depuis l'Antiquité (la chorea des Grecs ancien). Les formes de branles de la Renaissance en seraient donc inspirées (études de Jean-Michel et Yvon Guilcher).
* Le branle, spécifique au Béarn et au Pays Basque. Danses évoquant la chaîne, ouverte ou fermée, évoluant dans le sens des aiguilles d'une montre ; cette chaîne comporte un nombre variable de danseurs : de deux (dans certaines formes de branles de la vallée d'Ossau ou de rondeaux) à plusieurs (rondeaux en chaîne des Landes, quelques branles béarnais...). La danse s'exécute donc sur un cercle, et est constituée d'un développement précis de pas, répétés autant de fois que dure la musique ; l'on rencontre évidemment un grand nombre de variantes propres à une zone, une danseuse ou un danseur...
* Les sauts, spécifiques au Béarn et au Pays Basque également, seraient des danses directement dérivées de formes de branles spécifiques, toujours de la Renaissance (« branles coupés, branles morgués », cités dans « L'Orchésographie » de Thoinot Arbeau,
1588).
Pour ce qui est du déroulement, les danseurs se suivent sur un cercle fermé, sans se tenir, et dans le sens inverse au sens des aiguilles d'une montre. Chaque saut se présente comme un enchaînement de « pas de base » - environ une quinzaine – qui ont un appel de début et un final. La « mande » désigne la suite des pas, qui peuvent être annoncés au groupe par l'un des danseurs, à mesure que se déroule la danse.
* Diverses formes de bourrées à 2 temps en Ariège, qui seraient, toujours selon les recherches de Jean-Michel et Yvon Guilcher, issues d'un fonds ancien de danses à 2 ou 3 temps dont l'aire recouvre une grande partie de la France (Auvergne, Limousin, Berry, Bourbonnais, Poitou, Rouergue, Quercy, Languedoc) ; les chorégraphies les plus anciennes en sont : deux lignes de front, ou une ronde.
Aucune explication définitive, aujourd'hui, sur le fait que l'Ariège se trouve « coupée » de cette homogénéité géographique... Phénomènes de migrations rurales ?
Aujourd'hui : En l'état actuel des recherches, les parties de la Gascogne (tout au moins certaines zones ou certains villages) ayant maintenu jusqu'au milieu du XXe siècle une pratique « naturelle » de la danse sont essentiellement :
– Le Béarn : vallée d'Ossau, ainsi que quelques villages du Bas-Béarn : région de Jurançon, Salies, Sauveterre.
– La Grande Lande : le Marsan
– L'Ariège : hautes vallées du Couserans
Ce sont souvent des zones où l'économie a conservé une forte dominante agropastorale ou encore des endroits où cette économie est conditionnée par une entraide importante, ce qui renforce le lien communautaire ; leur isolement « relatif » peut aussi constituer un argument en ce sens.
Les occasions de danser sont diverses : fêtes et cérémonies diverses, danses de Carnaval...


Source:Extrait du C-D ROM « Les instruments de musique occitans : La Gascogne » Ed. Sceren-CDDP

19 mai 2016

TRI KEMENER

TRI KEMENER

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Extrait musical joué par Jacques Fraudet 

 

Le kas a-barh (écriture moderne : kas a-barzh, littéralement « envoyer à l’intérieur ») est une danse bretonne originaire du pays vannetais.

 C'est une évolution de l'an-dro où les couples se sont individualisés du groupe.

 De fait, les musiques d'accompagnement sont généralement celles de l’an-dro, même si le nombre de temps de leur phrasé n'est plus toujours un multiple du pas de danse (le pas étant deux fois plus long que celui de l’an-dro).

 Les couples sont en rond ou en cortège et se tiennent par le petit doigt. Sur quatre temps, les couples marchent sur le pas de l’an-dro. Sur les quatre temps suivants, le cavalier envoie sa cavalière vers l'intérieur du rond ou du cortège puis la ramène, lui faisant ainsi parcourir un 8 (cf certaines danses galloises).

 La formation en rond, où les couples sont encore liés les uns aux autres, est la plus ancienne tandis que le cortège (dans lequel les couples se suivent et ne sont plus liés par les petits doigts) est plus récent.

 La plupart des danses anciennes étant en ronds ; les danses en couples (dañs kof-ha-kof, « danses ventre contre ventre ») étant mal vues dans la plupart des endroits.

 À la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, la mode et le style des danses suivirent l'évolution de la société qui passe progressivement de la vie en communauté à l'individualisme. Les rondes s'ouvrent en chaînes, les couples ont droit de cité dans la danse, les bals à 2 et les danses en couples se multiplient.

À la veille de la guerre de 1914-18, l’an-dro a vu apparaître des figures en couple (retournement l'un vers l'autre, saut de la cavalière, faire tournoyer sa cavalière, ...). Après la guerre, cette évolution avait abouti au kas-a-barh qui était devenu une danse distincte de l’an-dro. Initialement, les couples étaient encore en rond, comme dans l’an-dro, mais la variante où les couples sont en cortège est devenue ensuite très courante (de même que la gigue est la variante en cortège du cercle circassien).

Source: wikipédia

 

 

19 mai 2016

J'ALLAIS PÊCHER L'ANGUILLE

J'ALLAIS PÊCHER

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Extrait musical joué par Jacques Fraudet 

 

Morceau composé par Gilbert Hervieux  

Gilbert Hervieux

 

Gilbert Hervieux est un facteur d'instruments à vent bretons (associé avec Olivier Glet depuis 1981 au sein de l'atelier Hervieux et Glet) et un sonneur de bombarde.

 

Il fait ses preuves en tant que talabarder en couple biniou-bombarde en remportant de nombreux trophées : championnat de Bretagne à Gourin en 1995, Trophée Matelin an Dall à Lorient en 1990, ainsi qu’aux concours  de Monterfil, Redon, Saint Malo, Branderion avec son compère Jacques Beauchamps.

 

L’atelier Hervieux et Glet est créé en  février 1981 suite à la rencontre de deux sonneurs du canton d’Allaire au bagad de Lann-Bihoué.

 

Installés à  Rieux aux portes de Redon, Olivier Glet et Gilbert Hervieux  côtoient à leurs débuts, les deux derniers facteurs  professionnels encore  en activité en début des années 1980 : Dorig Le Voyer de Rennes et Jean Capitaine de Bourbriac. La période « revivaliste » insufflée par Alan Stivell s’estompe en ce début de décennie quatre-vingt. Les deux associés devront, de ce fait, innover pour dynamiser la fabrication des instruments traditionnels à vent. Ce sera le cas en agrandissant la famille des bombardes en finissant de mettre au point, tout d’abord une bombarde alto (travaux commencés par Dorig Le Voyer)  et ensuite la bombarde ténor. 

 

Gilbert et son fils Tudual sonnent régulièrement ensemble, en concerts ou en Festoù-noz.Ils participent également aux concours de sonneurs tel la Bogue d’Or à Redon, Concours qu’ils ont remporté à plusieurs reprises; également au championnat de Bretagne à Gourin où ils terminent 3ème en 2010 et 2ème en 2013. 

 

Sources: site internet de Gilbert Hervieux et Olivier Glet

www.hervieuxglet.com

19 mai 2016

TOUT LE LONG DU BOIS

TOUT LE LONG DU BOIS++++

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan

 

Paroles

Y'a bien 10 ans tout le li tout le long

Y'a bien 10 ans tout le long du bois

Où étais-tu, étais-tu dis moi

Où étais-tu à ramasser du bois

 

 Y'a bien 9 ans tout le li tout le long...

 

 

 

 

19 mai 2016

LARIDÉ 8 TEMPS TRAD

LARIDÉ 8 TEMPS=

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Extrait musical joué par Patrick Cadeillan 

 

Le laridé, et sa variante ridée, sont une famille de danses bretonnes originaire du pays vannetais (répertoire de l’an dro). La danse prend la forme d'une ronde chantée en breton ou en français, et parfois en chaine mixte ouverte. Contrairement à la gavotte, c'est une danse de bras et non de pieds. Les bras balancent puis se redressent comme pour s'accouder lorsque les pieds marquent une pose.

Il existe des cas particuliers comme la ridée dite de Guillac où ces deux phénomènes ne se produisent pas en même temps. La ridée du Bas Léon est très proche du laridé vannetais mais elle se joue en six temps et les mouvements de danses sont moins stricts.

C'est la danse la plus populaire en Morbihan méridional autour de 1900. Le terme laridé (probablement issu des onomatopées de ritournelles de type "laridon, laridé") s'applique à des danses assez dissemblables.

Les laridés (ou ridées) dérivent de l’hanter dro (et donc indirectement des branles de la Renaissance, par ajout des mouvements de bras et accélération) au milieu du XIXème siècle. Ils ont supplanté l'hanter-dro car les jeunes préféraient cette danse plus enlevée
On rencontre deux formes de base :

  • le laridé 6 temps, au tempo rapide ;
  • le laridé 8 temps, dit « de la côte » (originaire du pays de Carnac), au tempo plus lent.

Afin de les distinguer, on appelle souvent ridées les laridés à 6 temps. En effet, les ridées à huit temps ne correspondent qu'au pays de Josselin alors que les ridées six temps se sont majoritairement diffusées en Haute-Bretagne.

 Source: Wikipédia

  

 

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