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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
La Rirette, appelée aussi Jeanneton prend sa faucille, est une chanson paillarde française racontant sur le mode «humoristique» la rencontre entre une jeune fille et quatre "jeunes et beaux" garçons. Il en existe une quantité de variantes. Cette chanson populaire issue du folklore pourrait avoir été composée par Nicolas Dalayrac dans son opéra comique Les Deux Petits Savoyards, créé en 1789. Par la suite, elle a été attribuée, sans doute à tort, à Aristide Bruant, qui en fut l'interprète avec succès en 1890.
Source: wikipédia
Paroles:
Jeanneton prend sa faucille Larirette larirette Jeanneton prend sa faucille Pour aller couper du jonc. (bis)
En chemin elle rencontre Larirette larirette En chemin elle rencontre Quatre jeunes et beaux garçons. (bis)
Le premier un peu timide Larirette larirette Le premier un peu timide La traite de laideron. (bis)
Le deuxième pas très sage Larirette, larirette Le deuxième pas très sage Lui caressa le menton. (bis)
Le troisième encore moins sage Larirette larirette Le troisième encore moins sage La poussa sur le gazon. (bis)
Ce que fit le quatrième Larirette larirette Ce que fit le quatrième N'est pas dit dans la chanson. (bis)
Vous voulez l'savoir, mesdames, Larirette larirette Vous voulez l'savoir, mesdames Faut aller couper du jonc. (bis)
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
Chanson écrite parKito Laroche et Camus dans les années 1900. Musique de Charlys et Aris
Le Petit Parisien estfondé en 1876 par le député radical Louis Andrieux. De tendance anticléricale et radicale le journal soutient la république, la laïcisation de la société et la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Il devient assez rapidement populaire.
Refrain Elle lisait le p'tit Parisien Elle s'intéressait à la politique, Elle lisait le p'tit Parisien Le plus fort tirage des journaux du matin
Quand Sidonie vit le jour un matin, Ce fut sans doute un spectacle effroyable, Elle alerta ses parents, ses voisins, Elle vint au monde un journal à la main... Qu'est-ce qu'elle faisait ?
Refrain
À 14 ans, elle s'en fut d'chez sa mère, qui aussitôt avertit l'commissaire On la r'trouva dans les water-closets Ca f'sait déjà plus de huit jours qu'elle y était...
Qu'est-ce qu'elle faisait ?
Refrain
À 25 ans, on l'emmena en taxi, Pour une opération de l'appendicite Le chirurgien saisit son bistouri Et pendant qu'on lui chatouillait le nombril... Qu'est-ce qu'elle faisait ?
Refrain
À 60 ans, sur le pavé un soir, Elle dégringola du 6e étage Mais s'asseyant sur le bord du trottoir Bien tranquillement, chacun pouvait la voir Qu'est-ce qu'elle faisait ?
Refrain
À 105 ans, elle passa sous le métro, Ce fut sans doute un spectacle effroyable Tous les wagons lui passèrent sur le dos Mais on la vit ressortir aussitôt... Qu'est-ce quelle faisait ?
Refrain
À 107 ans, en faisant un faux pas On la vit piquer une tête dans la Seine Heureusement qu'un passant se dévoua Au bout de quinze jours, au fond, on la r'trouva Qu'est-ce quelle faisait ?
Refrain
À 120 ans, quand enfin elle mourut, À l'enterrement, les chevaux s'emballèrent, La pierre tomba et s'ouvrit dans la rue, On vit alors ce qu'on n'avait jamais vu... Qu'est-ce quelle faisait
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
Composé par Nicolas Péridès, "Monsieur le curé ne veut pas" est une chanson tiré d'un air à danser breton traditionnel, le "bal de Jugon", qui déclinait sur plusieurs couplets le thème du curé qui interdisait tout aux jeunes du village, et du maire qui prenait systématiquement le contrepied, façon Don Camillo armoricain
Paroles:
Monsieur le curé ne veut pas Que les gars embrassent les filles Mais il ne défend pas Que les filles embrassent les gars! Monsieur le curé ne veut pas Que les gard embrassent les filles Mais Monsieur le maire a dit De les embrasser malgré lui!
Monsieur le curé ne veut pas Que les gars dansent en Carême Mais il ne défend pas Que les filles sautent dans leurs bras! Monsieur le curé ne veut pas Que les gars embrassent les filles Mais Monsieur le maire a dit D'aller danser malgré lui!
Monsieur le curé ne veut pas Que les gars taquinent le cidre Mais il ne défend pas Que les filles fassent boire les gars! Monsieur le curé ne veut pas Que les gars taquinent le cidre Mais Monsieur le maire a dit Qu'un petit coup chasse les soucis!
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
La musique de la chanson « Les fiancés d'Auvergne » a été composée en 1961 par André Verchuren et les paroles écrites par Guy Favereau. André Verchuren, né dans l'Oise de parents d'origine belge, est décédé à Chantilly le 10 juillet 2013 à l'âge vénérable de 92 ans. Ce compositeur musicien accordéoniste a vendu plus de 60 millions d'albums. Celui qui n'a pas dansé sur un air d'André Verchuren dans un bal de campagne ne peut le comprendre. Il restera une légende vivante du musette, qui fait partie de la culture française.
Guy Favereau: auteur compositeur français né à Noisy-le-Sec le 17 juin 1919 et décédé le 5 juin 1998
PAROLES :
Les fiancés d'Auvergne
J´ai quitté mon cher pays Mais j´ai laissé mon cœur Dans mon Auvergne jolie Parmi les bois, les monts, les vallées et les fleurs Car je pense chaque jour A celle qui m´attend Elle me garde son amour Et nous nous marierons dès le prochain printemps
Refrain: Mais tous les fiancés d´Auvergne Ne vivent pas simplement d´espoir Pour prendre aussi ma part de peine Je suis parti au hasard Réussir sa vie n´est pas facile Il y faut du courage et de la volonté Si je fais ma place dans la grande ville C´est pour gagner le droit de bâtir un foyer
J´ai quitté mon cher pays Mais j´ai laissé mon cœur Dans mon Auvergne jolie Parmi les bois, les monts, les vallées et les fleurs Et je pense chaque jour A celle qui m´attend Comme il est loin le retour Qu´elle est loin mon aimée, qu´il est loin le printemps!
Refrain Mais tous les fiancés d´Auvergne N´aiment pas rester séparés longtemps Elle a peut-être un peu de peine Croyant mon cœur inconstant Il y a des filles qui sont jolies Mais pour moi, la plus belle c´est ma fiancée Et le plus doux rêve de toute ma vie C´est par un beau matin de la voir arriver
Car c´est dans ses yeux, mais oui Que j´ai laissé mon cœur Et mon Auvergne jolie Reviendrait avec elle m´apporter sa douceur Nous pourrions rester ici Peut-être jusqu´au jour D´aller finir notre vie En Auvergne jolie où naquit notre amour
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
LA PAIMPOLAISE
Chanson écrite par Théodore Botrel en 1895
Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel, né le 14 septembre 1868 et mort le 26 juillet 1925
Paroles
Quittant ses genêts et ses landes Quand le Breton se fait marin Pour aller aux pêches d'Islande Voici quel est le doux refrain Que le pauvre gars Fredonne tout bas :
Refrain: J'aime Paimpol et sa falaise Son église et son Grand Pardon J'aime surtout ma Paimpolaise Qui m'attend au pays Breton
Quand les marins quittent nos rives Le vieux curé leur dit : bon vent Priez souvent Monsieur Saint-Yves Qui nous voit des cieux toujours bleus Et le pauvre gars Fredonne tout bas :
Le ciel est moins bleu, n'en déplaise A Saint-Yvon , notre patron Que les yeux de la Paimpolaise Qui m'attend au pays Breton
Guidé par la petite étoile Le vieux patron d'un côtre fin Dit souvent que sa blanche voile Semble l'aile du Séraphin Et le pauvre gars Fredonne tout bas :
Ta voilure, mon vieux Jean Blaise Est moins blanche au mât d'artimon Que la coiffe de la Paimpolaise Qui m'attend au pays Breton
Le brave Islandais sans murmure, Jette la ligne et le harpon, Puis dans un relent de saumure, Il se couche dans l'entrepont... Et le pauvre gars Soupire tout bas :
Je serions bien mieux à mon aise, Devant un joli feu d'ajonc, A côté de la Paimpolaise, Qui m'attend au pays Breton
Mais souvent l'Océan qu'il dompte Se réveille, lâche et cruel, Et lorsque le soir, on se compte, Bien des noms manquent à l'appel... Et le pauvre gars Fredonne tout bas :
Pour combattree la flotte anglaise, Comme il faut plus d'un moussaillon, J'en caus'rons à ma Paimpolaise, En rentrant au pays Breton.
Puis quand les vagues le désigne, L'appelant de sa grosse voix, Le brave Islandais se résigne, En faisant un signe de croix... Et le pauvre gars Quand vient le trépas,
Serrant la médaille qu'il baise, Glisse dans l'Océan sans fond En songeant à la Paimpolaise Qui l'attend au pays Breton.
L'histoire
La Paimpolaise, est née d'un hasard, en 1895. Un chansonnier du cabaret le Chien noir, à Paris, est malade. On propose à Théodore Botrel, l'inconnu dinannais de le remplacer. En quelques heures (comme il l'indique dans ses Souvenirs d'un barde errant), il se compose « un programme nouveau ». Parmi ces airs neufs, la Paimpolaise... qui ne soulève pas les foules. Jusqu'à ce que s'en empare Félix Mayol, un an plus tard.
Vendue pour quelques sous
La carrière de l'élégant amateur de chansons grivoises est lancée, la chanson aussi. "Évidemment, à l'époque, il n'y a pas de hit-parade, précise Pierre Tronchon. Dans les rues, des joueurs d'accordéons vendent pour trois sous des feuillets avec les paroles de chansons que l'on appelle petits formats . On sait que les ventes de La Paimpolaise ont explosé. "
Paimpol la commerçante, la ville des armateurs, est à l'époque plus petite que ses voisines Plourivo, Kerfot ou Kérity, plus ouvrières et agricoles. Connue pour être un des plus grands ports morutiers et de construction de goélettes de Bretagne, la petite ville en devient bientôt un emblème de toute la région, grâce à la chanson.
Pourtant, à l'époque de son écriture, Théodore Botrel n'a jamais mis les pieds à Paimpol... Pire encore, la fameuse « falaise » chantée par toute la France... n'existe pas tout à fait. Elle pourrait correspondre au surplomb sur la mer depuis Pors-Even, où à une maison de passe de Paimpol, où plus simplement à rien, sinon la rime...
La musique ralentie
En réalité, Théodore Botrel s'est inspiré du roman de Pierre Loti, pêcheur d'Islande, qu'il vient de dévorer. L'histoire d'amour entre la jeune Gaud et Yann le pêcheur se transpose dans la chanson : Un marin parti vers l'Islande, qui pense à sa belle Paimpolaise... jusqu'à périr en mer. Au départ composée sur un rythme de chasse, la musique (d'Eugène Feautrier) est ralentie au fil des ans, pour en devenir plus mélancolique, quelques couplets sont réécrits.
Théodore Botrel ne viendra qu'en 1896 à Paimpol, puis l'année suivante, chanter pour le pardon des Islandais. La chanson, par la voix de Mayol, poursuit sa carrière. Au fil des décennies, les adaptations se multiplient : La Lannionnaise,La Brestoise,la petite Liégoise (en Belgique)... 300 chansons fleurissent
Sources: La paimpolaise: une histoire de l'hymne breton
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
Nini peau d'chien: chanson écrite par Aristide Bruant
Louis Armand Aristide Bruand dit Aristide Bruant, né le 6 mai 1851 à à Courtenais et mort le11 février 1925 à Paris 18ème , est un chansonnier et écrivain français. Ses chansons populaires, sa présence en scène, sa voix rauque et puissante et sa carrure ont fait de lui un monument de la chanson française réaliste. Il est considéré comme un des plus grand poète de l’argot de la fin du XIX ème siècle et du début du XX ème siècle.
Il a été l'un des créateur de la chanson réaliste, mouvement qui a perduré jusqu'au milieu du XXème siècle avec notamment Edith Piaf comme l'une des dernières interprètes. Ce mouvement a laissé des traces durables jusque dans la chanson française contemporaine.
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
À la claire fontaine est une chanson française traditionnelle qui vient d'un poème anonyme écrit entre les XV ème et XVIII ème siècles. Selon l'ethnomusicologue canadien Marius Barbeau (1883-1969), la chanson aurait été composée par un jongleur du XV ème ou du XVI ème siècle. James Huston (1820-1854), journaliste canadien, écrit que « l'air et les paroles paraissent avoir été composés par un des premiers voyageurs canadiens ». Très populaire en France, elle l'est aussi en Nouvelle-France / Québec depuis le XVI ème siècle, où elle a été historiquement chantée par les coureurs des bois lors de longs voyages en canot et par les Patriotes lors des insurrections de 1837-1838 contre l'hégémonie anglaise. Cette chanson, premier hymne national de la Nouvelle France, a connu plus de cinq cents versions.
Source: Wikipédia
Paroles:
À la claire fontaine M'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné
Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Sous les feuilles d'un chêne Je me suis fait sécher Sur la plus haute branche Un rossignol chantait
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Chante rossignol chante Toi qui as le cœur gai Tu as le cœur à rire Moi je l'ai à pleurer
Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
J'ai perdu mon amie Sans l'avoir mérité Pour un bouquet de roses Que je lui refusai
Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Je voudrais que la rose Fût encore au rosier Et que ma douce amie Fût encore à m'aimer
Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
À la claire fontaine M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
Chevaliers de la table ronde est une chanson à boire populaire chantée en France, en Acadie, au Québec, en Ontario français, en Suisse, en Belgique, en Nouvelle Angleterre et en Vallée d'Aoste et dans d'autres pays francophones comme le Liban.
Source: wikipédia
Paroles
Chevaliers de la Table Ronde Goûtons voir si le vin est bon Chevaliers de la Table Ronde Goûtons voir si le vin est bon Goûtons voir, oui, oui, oui Goûtons voir, non, non, non Goûtons voir si le vin est bon. Goûtons voir, oui, oui, oui Goûtons voir, non, non, non Goûtons voir si le vin est bon.
S´il est bon, s´il est agréable J´en boirai jusqu´à mon plaisir
J´en boirai cinq a six bouteilles Et encore ce n´est pas beaucoup
Si je meurs, je veux qu´on m´enterre Dans une cave où il y a du bon vin
Les deux pieds contre la muraille Et la tête sous le robinet
Et les quatre plus grands ivrognes Porteront les quat´ coins du drap
Pour donner le discours d´usage On prendra le bistrot du coin
Et si le tonneau se débouche J´en boirai jusqu´à mon plaisir
Et s´il en reste quelques gouttes Ce sera pour nous rafraîchir
Sur ma tombe je veux qu´on inscrive Ici gît le Roi des buveurs
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Extrait musical joué par Jacques Fraudet
Boire un petit coup est une chanson à boire d'origine folklorique
Origine: En 1947, le capitaine Félix Boyer déclara cette chanson comme étant sienne : elle aurait été composée en 1910, sous le titre Boire un bon pinard, modifié en 1943 par l'actuel. Il en réclamait les droits d'auteur à la Sacem (source : France-Soir 27 juin 1953). S'ensuivit un long procès où tant en appel qu'en cassation, Félix Boyer fut débouté. Il fut démontré que paroles et musique avaient été entendues en France en 1906 et se retrouvaient, avant le XIXème siècle dans le folklore de la Louisiane et du Canada, quel que soit l'ordre des couplet. Ce qui infirme que les paroles étaient dues à des soldats dans les tranchées durant la Première Guerre mondiale. Compte tenu de l'arrêt de la Cour de cassation, « toute édition, interprétation, texte, indiquant Félix Boyer auteur de Boire un petit coup, n'est pas conforme à la décision de justice ».
Source: WIKIPEDIA
PAROLES:
Boire un petit coup c’est agréable Boire un petit coup c’est doux Mais il ne faut pas rouler dessous la table Boire un petit coup c’est agréable Boire un petit coup c’est doux
Allons dans les bois ma mignonnette Allons dans les bois du roi! Nous y cueillerons la fraiche violette Allons dans les bois ma mignonnette Allons dans les bois du roi!
Non Firmin, tu n’auras pas ma rose Non Firmin, tu n’l’auras pas Car monsieur le curé a défendu la chose Non Firmin, tu n’auras pas ma rose Non Firmin, tu n’l’auras pas
J’aime le jambon et la saucisse J’aime le jambon, c’est bon! Mais j’aime encore mieux le lait de ma nourrice J’aime le jambon et le saucisse J’aime le jambon, c’est bon!
Diatomalo - Association Musicale Accordéon Diatonique Saint-Malo
DIATOMALO est une association musicale du pays malouin ayant pour but de promouvoir l'accordéon diatonique et de permettre aux musiciens amateurs de jouer ensemble.